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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 14:36

Ce swap organisé par Armalite, avait pour thème les mondes imaginaires.

Les consignes étaient: un livre à faire découvrir, deux objets s'y rapportant et un marque page. J'ai reçu un superbe colis de Nuryko.Elle avait choisi le livre " L'île aux oiseaux de fer" de André Dhotel, je ne connaissais ni le livre ni l'auteur mais le quatrième de couverture m'inspire déjà. (j'achève the "Hungry Games" tome 3 et je m'y plonge).  " Julien s'embarque comme stewart sur un paquebot. Jeté à l'eau, il échoue à la nge sur une île survolée par des oiseaux au plumage de fer, au bec couleur d'argent, aux yeux de verre. Dans cette île, tout est trop net. Les voitures se conduisent toutes seules. Des robots servent sde habitents sans âge et sans amour. Seule la jeune psychologue Irène est sensible au charme de Julien. Comment parviendra-t-il à fuir avec elle? Une parabole sur l'automatisation et les progrès où la fantaisie, le fantastique social, l'onirisme Dhôtel, accentués par le mystère de l'insularité, font merveille"... bref je salive déjà.Je salive d'autant plus que Nuryka avait preparé de ses blanches mains, des petits biscuits au chocolat (c'est ma nouvelle meilleure amie, même si elle ne le sait pas), délcieux, dans une jolie boite recouverte d'une image mécanique (j'ai adoré l'idée au moins autant que les biscuits). Un superbe marche page qui invite au rêve ET un taille-crayon robot totalement délirant qui ira trôner sur mon bureau de chef de projet, juste à côté de mon Wallace (de Wallace et Gromit) Stres Ball... hahaUn tout grand merci à Nuryko et à Armalite pour cette jolie surprise.P1000262.JPGP1000263.JPGP1000266.JPG

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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 11:53

Hier, j'ai passé la soirée avec des filles non bio.  Ces filles-là ont commencé leur vie en tant que garçons.

 

Une de mes copines/collègues est non-bio et m'a présentée aux autres.

Je dois avouer qu'au début, j'avais quelques appréhensions, comment allaient-ils accepter la petite bio que je suis?, est-ce que j'allais poser les bonnes questions?, est-ce que j'allais me sentir rejetée?, est-ce que les conversations allaient être gérables pour moi? (qui ne supporte pas ne fut-ce que l'évocation d'un sparadrap arraché).

 

Résultat, j'ai passé une super soirée.

 

Je raconte:

 

J'attendais l'appel de A, mais j'ai fini par m'ennuyer avec mon coca froid, mon livre fini, j'ai donc pris les devants et je l'ai rejointe au MAC. Il faisait un froid polaire et après un moment d'hésitation, je suis rentrée.

Comme le café était réservé pour la soirée, un petit panneau sur la porte indiquait qu'il était fermé, en poussant la porte, je savais donc que tout le monde allait me regarder.

Ils l'ont fait mais ils l'ont fait avec le sourire et je me suis sentie bienvenue. J'avoue que ça m'a impressionnée. Moi qui réussis à être mal à l'aise avec à peu près n'importe qui ( y compris ma mère ou O.), je me suis étonnée de la rapidité avec laquelle j'avais trouvé mes marques. (Sac à dos ici, manteau là, bonnet sur la table...)

 

J'ai retrouvé A, rencontré E (qui était quand même beaucoup mieux maquillée ET habillée que moi, c'est toujours vexant...), ensuite A et son épouse etc...

E frimait avec ses longues jambes de 1m20, avec son sac à main Dior et portefeuille assorti  (frimeuse, je vous dis).

 

Oui, elles ont parlé d'opérations que je n'ose même pas imaginer, elles ont parlé d'hormones, d'épilation laser, de cours d'orthophonie (j'ai sursauté quand A qui ressemble à ma tante Lorette a repris sa voix d'homme..., c'était fort drôle....)

 

Beaucoup de souffrance à cette table, physique et morale, beaucoup d'espoir aussi.

 

J'ai beaucoup de respect pour elles, de l'admiration aussi face à leur courage, à celui qu'il leur faut chaque jour, pour affronter les regards, les différentes étapes (aucune n'a l'air drôle, si vous voulez mon avis) etc...J’ai pourtant regretté le côté orienté de la soirée, j'aurais voulu oublier le bio/non-bio truc pour pouvoir parler de tout et de rien comme le font si bien les filles. Le dernier film, un nouveau vernis, le 'tu n'es pas morte de froid dans ta mini-jupe"...mais comme ces réunions sont là essentiellement pour transmettre des infos, je pense que c'est normal.

 

Ma langue a parfois fourché, utilisant le masculin au lieu du féminin...je l'ai regretté.

Je crois/ J'espère que si la conversation avait été sur un autre sujet, ça ne serait pas arrivé.

 

Au final, une excellente soirée. Je suis rentrée à 1h30 du mat et j'ai franchement une sale tête que mes chaussettes à rayures blanches et rouges combinées à mon pantalon Camel n'amélioreront pas... pffff

 

 

 

 

 

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2 février 2012 4 02 /02 /février /2012 16:10

Parce que je voulais pouvoir rejouer à Tetris, me torturer les yeux à lire sur un mini-écran, avoir accès à des applications stupides et que mon téléphone rendait l'âme, j'ai décidé de m'offrir un Smartphone.

Je ne voulais pas un truc trop cher ne sachant pas si j'allais adhérer au concept, j'envisage un iPhone 3G ou autre.

J'ai  finalement opté pour un Samsung Ace

 

 

 

Il est beau comme un camion. Un collègue a du me montrer comment activer l'écran de veille (la bestiole est fournie SANS manuel) avant cela je passais mon temps à l'éteindre et le rallumer. Je peux jouer à Tetris et ça c'est super cool. De crainte d'une facture trop surréaliste à mon gout, j'ai réussi à couper la conneXion internet mais je ne parviens pas à la rétablir... et parfois, je me surprends à regarder avec envie mon vieux Nokia rose...

C'est prouvé, je ne suis pas et ne serai jamais un Early Adopter...

Mon dieu, il sonne!!!!

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1 février 2012 3 01 /02 /février /2012 15:19

Hier, grande journée de travail avec Workshop, team lunch et tout le tralala.

 

Pour rappel, je travaille comme Chef de Projet IT. Ma formation de romaniste ne m'avait pas préparée à des concepts infernaux tels que le Data Model ou le Loadbalancer mais visiblement, d'après mon employeur, mes softs skills compensent mon manque de connaissance (et mon manque d'interêt) technique.

 

L'équipe compte une quinzaine de personne, une seule femme (moi)

 

Ils sont tous informatiens, ingénieurs, architecte réseau, etc, je suis romaniste avec un master en gestion de projet multimedia. Je viens de m'acheter un Smartphone, et il m'a fallu deux jours pour comprendre comment activer l'écran de veille, j'ai depuis compris comment débrancher la connection internet mais je ne me souviens plus comment on la rebranche, pour vous donner une idée de l'abîme.

 

Cependant, against all odds, je m'en sors relativement bien, si je dois trouver un jar file, je le trouve même si pour moi, c'est un fichier pot de confiture, etc... Mon boss semble même être content de moi. Mais...

 

Mais, je me sens comme un chaton mignon. Mes collègues me regardent avec la même expression de tendresse et de sympathie que moi quand je regarde Erwin, mignon, mais tellement con. Quand je parle, ils rient comme si je ne racontais que des choses hyper drôles (ce qui est vrai d'ailleurs), j'ai droit à des remarques du genre "Fais pas ta blonde", etc...

 

Quelque soit la situation, je suis Single out. Toujours.

 

Je me demande comment gérer cela, me forcer à intégrer les informations techniques pour pouvoir donner mon point de vue sur l'architecture de référence? Passer un brevet SOA? Me couper les cheveux?

 

Me prendre au sérieux.... peut-être, est-ce la solution la plus évidente...mais elle ne me fait pas envie. Je n'éprouve pas le besoin de montrer que j'en sais autant ou plus que les autres, je ne suis pas dans la compétition mais je ne veux plus être un chaton mignon ou alors je dois apprendre à montrer mes griffes...

 

Ou trouver d'autres chatons mignons avec qui travailler dans le monde de Bisounours...

 

 

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31 janvier 2012 2 31 /01 /janvier /2012 10:09

Il y avait bien longtemps que je ne m'étais pas empechée de dormir juste pour terminer un livre particulièrement prenant.

Samedi, je n'ai pas dormi pour le plaisir de lire: "Hunger Games".

 

 

 

 

Dans un autre monde, une autre époque, le pouvoir en place organise des "Jeux de la faim" pour rappeler au peuple qui est le plus fort. Le monde est divisé en 12 districts (le 13ème a été éradiqué de la carte par le pouvoir afin de démontrer sa force à mater toute forme de rébellion). Dans chacun des disctrics, deux enfants entre 12 et 18 ans seront tirés au sort pour participer à ce jeu. Le principe est simple. Un seul survivant sur vingt-quatre. Tuer ou être tué.

 

Le jeu est suivi par l'ensemble de la population (volontairement ou pas) selon le disctrict choisi.

 

Notre héroine Katniss, vient du district le plus pauvre, son père est mort, sa mère est aux abonnés mentalement absents et sa petite soeur vient tout juste d'avoir 12 ans. Pour nourrir sa famille, elle apprend à chasser avec son ami Gale, à reconnaitre les fruits dans la forêt interdite, à vendre ses lapins au marché, à les échanger contre du pain...

 

Le jour du tirage arrive, Katniss a déposé plusieurs billets à son nom (chaque participation lui donnera droit à une ration de nourriture supplémentaire), Prim (sa soeur) a déposé le sien.

Le tirage a lieu, le nom de....

 

 

C'est prenant, c'est vif, c'est un mélange subtil entre ce qui est attendu par le lecteur et ce qui ne l'est pas du tout, il y a de la legerté, de la douceur, de l'enfance, de la mort, de la ruse, de la tromperie, du calcul... bref, j'ai adoré. Et ce soir, je vais acheter les deux tomes suivants.

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31 janvier 2012 2 31 /01 /janvier /2012 10:00

Hier, Erwin le chat a été castré.

 

J'ai toujours trouvé cela terriblement injuste de décider pour mon animal de compagnie ce qui était bon pour lui.

 

Je choisis ses croquettes, la quantité à laquelle il a droit, j'oublie parfois de lui donner de l'eau, je râle quand je dois nettoyer sa litière, je lui impose un endroit où dormir, je décide ou non si il peut rentrer dans la maison ou aller à l'étage etc... et par dessus le marché, je lui fais couper les couilles.

Certes, c'est pour son bien, dit-on mais quand même je culpabilise.

Quand O. l'a ramené à la maison, ses pattes arrières étaient encore endormies et il marchait assis, ridicule et pathétique et je me suis sentie ignoble de lui imposer des souffrances physiques pour son prétendu bien-être (mais surtout pour le mien, ne le nions pas). J'ai pleuré dans les bras de O, toute ma culpabilité, mon dégout de moi-même.

Ensuite, sournoisement, j'ai caressé le pauvre Erwin, qui a ronronné comme avant et je me suis sentie rassurée, un peu. Incapable de supporter de le voir dans cet état, je suis rentrée à Bruxelles, "Courage, fuyons"...

 

Dans une prochaine vie, je meriterais d'être à un chat à qui on ferait plein de choses, pour son bien. Toc. De plus, si j'étais Erwin, je ne me le pardonnerais pas. Na.

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26 janvier 2012 4 26 /01 /janvier /2012 15:03

Chris et Lorelai sont mariés. Après une courte séparation ils se retrouvent pour se dire que tout est fini. Lorelai ajoute entre deux sanglots qu'elle aurait bien aime qu'il soit celui dont elle a besoin...

 

Forcément, ça m'a fait penser à H.

 

Il avait été mon meilleur ami pendant si longtemps, il a porté mon soutien gorge pour se déguiser en fille, il a dormi dans mon canapé, il a mangé chez mes parents etc... nous nous connaissions par coeur.

 

Et puis, j'ai rompu avec O le terrible, et j'ai eu le coeur brisé (encore) et puis une "copine' est intervenue (ce qui explique les " ") et puis je me suis retrouvée dans la situation où j'avais en face de moi mon meilleur ami qui attendait tout autre chose que de l'amitié de ma part.

 

Et oui, j'ai été faible et oui j'ai eu envie d'y croire et non, ça n'a pas marché.

Et je me suis retrouvée, seule, toujours avec le coeur brisé, avec un gros gout de culpabilité dans la bouche et sans meilleur ami.

 

Ce matin, je lui ai envoyé un mot sur l'épisode 14. Si j'avais eu du cran, à l'époque, c'est ce que je lui aurais dit.

 

tv_gilmore_girls04.jpg

 

Il apparait encore une fois que passer ma soirée devant la télé à faire des maths est nuisible à ma santé mentale et à la paix de mon esprit.

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26 janvier 2012 4 26 /01 /janvier /2012 15:02

mes 6 visiteurs...

 

haha

 

Ceci dit, avec l'ancien blog, dès que j'ai passé la barre des 500, je me suis mise à me sentir mal alors... je vous remercie....et je continue à bloguer joyeusement.

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24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 17:40

Dans une autre vie, j'ai aimé d'autres gens, j'ai ri, j'ai pleuré avec eux ou à cause d'eux, je les ai aimé un peu ou beaucoup selon le cas, j'en ai été aimée ou pas selon le cas. A une exception près, je ne les vois plus, j'ai parfois des nouvelles, souvent via via, mais je dois reconnaitre que je suis en paix avec ces fantômes du passé.

 

Tous sauf un. My own personnal highlander. Le seul dont je n'ai plus aucune nouvelle finalement, le seul que j'ai accepté d'épouser aussi.

Celui avec qui j'ai compris qu'un couple impliquait parfois de gros sacrifices matériels ou autres, celui qui d'un regard ou d'un sourire pouvait me faire pleurer ou rire, celui avec qui je me suis abandonnée, totalement, absolument, de façon démente presque.

Celui-là, je n'arrive pas à l'oublier. Je ne sais même pas comment faire, une part de moi doit lâcher son souvenir et je n'y arrive pas, j'aimerais le considérer comme l'un de ces fantômes du passé, mais il n'est pas un mois où je ne m'imagine la grande scène de retrouvailles, je suis évidemment superbe, mince, épanouie et bien coiffée (j'ai bien précisé que c'était un rêve), j'ai de jolis enfants avec O et je lui souris, à partir de là, le rêve part en sucette et ou je lui en mets plein la vue grâce à ma vie merveilleuse ou je m'imagine, abandonnant tout pour m'abîmer dans ces chimères. En général c'est à ce moment là que je me réveille paniquée d'avoir perdu O.

 

Le doute n'existe pas, je suis plus sereine, plus heureuse, plus épanouie, et pourtant une partie de moi, et je ne sais pas très bien laquelle n'arrive pas à refermer cette page vieille de plus de 10 ans.

 

J'ai la volonté de maîtriser cette partie de moi qui n'arrive pas à faire le deuil de cet amour, des ces possibles que nous avions imaginés, de ces endroits où nous n'irons jamais ensemble, de ces enfants que nous ne ferons pas, de ce mariage qui n'eut jamais lieu.

 

En attendant, le jour où j'arriverai à lâcher cette chîmère (il est marié, avec celle avec qui il me trompait, l'homme a de la constance, ils ont eu un enfant et vivent probablement dans le meilleur des mondes.), tel un alcoolique lors d'une soirée arrosée, je cherche ma came, je fouille le net, je me torture en écoutant Adèle, je m'arrête dès que j'en croise un qui porte son parfum, ma langue manque encore de fourcher en disant son prénom. Bref, je ne suis pas sortie de l'auberge, même si j'y vis seule depuis plus d'une décennie.

 

Je crois que je n'ai jamais pu accepter de perdre tout cet amour, le mien, celui que je n'ai pas su lui donner, je n'ai jamais su quoi en faire, je suis restée là, mon amour sur les bras.

Avec le temps, je sais que ce que je ressens n'est plus de l'amour, que celui que j'aimais n'existe plus, que je ne suis plus celle qui ressentait cela, je le sais. Ma tête le sait, mon coeur n'a pas l'air bien informé...ou est-ce un autre organe?

 

Peut-être que je ne me pardonne pas de ne pas avoir tout essayé et j'ai pourtant essayé beaucoup de jours.

 

Un jour, on criera "Christophe" dans la rue, un jour, je ne me retournerai pas. Un jour.

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24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 16:08

A priori, je préfère in-laws. Ma belle-mère n'est ni ma mère, ni belle.

 

Dès que je l'ai rencontrée, j'ai su qu'il était l'homme de ma vie, elle était un parfait stéréotype de la BM de l'enfer. Elle parle fort, sa conversation n'est ni drôle, ni intéressante, elle a une opinion sur tout et a évidemment toujours raison. Elle est à elle seule, les tables de la loi.

 

Je pense que désormais je devrais lui trouver un autre nom...je pense à Moustique.

Elle a en effet beaucoup de points communs avec l'insecte.

Le moustique est moche, on n'a jamais entendu "J'ai rencontré, une très jolie femme, elle était belle comme un moustique".

Le moustique est obsédant, qui n'a jamais passé une nuit à maudire le bruit horripilant de cette bestiole, l'oeil furieux, le cheveu hirsute, la pantoufle à la main, prêt à bondir sur le nuisible à 4h du matin...

Le moustique pique et c'est un moment fort peu agréable. Encore une fois, j'attends celui qui me dire "c'était génial, un peu comme une piqure de moustique, mais une grosse..."

Finalement, le moustique piqueur laisse une trace irritante bien après son départ, cette piqure que sans cesse nous irons gratouiller, ce qui ne fera qu'empirer la situation...

Vendu pour le moustique. Cependant, j'aurais préféré un truc baveux ...à la Jabba le Hutt...

 

Zut, maintenant, j'hésite... Jabba ou le moustique... ma vie est pleine de dilemmes dans ce genre, et on voudrait que j'avance.

 

 

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